Je n'y pensais même plus, mais contre toute attente, une dizaine de jours plus tard, le téléphone a sonné. Il était 10 heures du matin, elle voulait me voir à mon domicile à midi.
J'ai évidement tout arrêté pour faire un ménage de deux heures ! Mais cette activité énervée n'enlevait pas le trac. J'étais même certains qu'elle l'augmentait.
Elle est arrivé pile à l'heure. 45 ans, rousse, plutôt forte, mais alerte, dynamique. J'ai tout de suite remarqué ces escarpins marrons clairs, très usés, qui devaient renfermés les trésors aromatiques de centaines d'heures de travail... Bas ou collants chair.
Elle monte les marches qui mènent au salon et pose son sac sur la table en verre.
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Je n'en peux plus, les toilettes sont où ?
Je lui indique la porte, elle enlève son manteau qu'elle jette sur la table et disparaît dans la salle de bain.
Moins d'une minute plus tard, la porte s'ouvre... Sur ces deux jambes bien campées et écartées sur le pas de la porte. Ces sont des bas.
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Viens ici, tu vas m'essuyer !
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Je m'approche d'elle pensant la dépasser pour prendre une serviette. Elle me prend par les cheveux et me descend à terre. Mon visage est devant son sexe.
Je vois quelques perles d'urine dans sa toison.
Elle me descend encore et se sert de mon crâne pour s'essuyer. Elle n'a pas lâcher mes cheveux, et pose ensuite son sexe sur l’arête de mon nez. Elle se cale.
Elle commence son balancier en maintenant la pression d'une poigne ferme. J'ai caressé ses jambes gainées jusqu'à ses escarpins. Elle écrase immédiatement mes deux mains et se branle, ainsi installée, jusqu'à la jouissance.
Je n'ai plus de gueule, et suis inondé de cyprine. Elle ressort enfin mon visage de son sexe, me sourit, et me crache en pleine gueule.
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C'est bien.
Elle n'a pas lâcher sa poigne dans mes cheveux un seul instant pour me jeter sur le lit dans la chambre attenante. Je devais juste suivre le mouvement. Elle m'ordonne de me déshabiller, ce que je fais avec la plus grande célérité.
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Les deux mains sous tes fesses.... Tu ne bouges pas !
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Elle monte sur le lit encore chaussée, prend mon sexe et s'empale dessus sans autre forme de procès. Elle est seule. Son bassin bascule avec de plus en plus de force. Elle me répète plusieurs fois que je ne dois pas bouger.... <et surtout ne pas jouir...
Je n'en peux plus, mais heureusement, elle vient juste avant mon paroxysme.
Elle se dégage aussitôt.
Elle debout sur le lit et sourit en me regardant droit dans les yeux.
Elle dégage son escarpin en appuyant le talon sur mon torse.
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Termines-toi à l'odeur!
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Son pied s'appuie sur mon visage. Je m’exécute. Plus que rapidement, le parfum exquis m'enivre et j'explose en quelques secondes.
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C'est bien...
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Elle se rechausse et disparaît dans le séjour.
J'entends ses talons claquer sur la terrasse.... Je ne peux plus bouger.